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    DE LA FSU  ET DU SNUEP DANS RUBRIQUES NOS COMMUNIQUES DE PRESSE... et en cliquant sur le lien ci-dessus.

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    05/01/2012 05:28
    Hier, le billet d'avion symbolique était déposé au Rectorat. Hier, le billet d'avion symbolique était déposé au Rectorat. -

    Les syndicats n'ont pas prévu de grande manifestation, plutôt des actions symboliques. Quant aux partis politiques d'opposition comme le Parti socialiste, ils estiment que la visite de Nicolas Sarkozy est celle d'un candidat à la Présidentielle. « Et on n'organise pas de manif pour la venue d'un candidat », sourit Jean-François Macaire.

    > Un aller-simple pour Partenia. Hier soir, devant les grilles du rectorat, la FSU remettait symboliquement au chef de l'Etat un billet d'avion pour un diocèse imaginaire, d'une valeur de 80.000 €, soit 1 € par poste supprimé dans l'Éducation nationale depuis 2007 (2012 inclus). « Nous le faisons ce soir, puisque demain, nous ne pourrons pas l'approcher », commentait Myriam Liéby.
    > Les vœux des syndicats. L'intersyndicale départementale (FSU - UNSA - FO - Sgen/Cfdt - CGT - Solidaires) présentera ses vœux au monde de l'Éducation au travers d'une lettre ouverte au Président, ce jeudi 5 janvier, à 12 h 15, dans le hall de la gare du Futuroscope.


  • Secrétaire générale de la Fsu, la première fédération de la fonction publique, Bernadette Groison invite au débat. Débat sur l'avenir de l'éducation et la gestion des moyens en temps de crise. Débat plus général sur la gestion de la crise avant les élections présidentielles. C'est renvoyer Luc Chatel et le gouvernement à leur bilan et à leur arrogance.

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  • LEMONDE.FR avec AFP | 25.11.11 | 21h01

    Nicolas Sarkozy lors de la réception à l'Elysée en l'honneur des "Meilleurs ouvriers de France", le 25 novembre 2011.AFP/FRED DUFOUR

    Nicolas Sarkozy a annoncé vendredi 25 novembre la prorogation pour six mois des aides aux entreprises qui embauchent des jeunes en alternance, "notamment le dispositif zéro charge", lors d'une réception à l'Elysée en l'honneur des "Meilleurs ouvriers de France".

    "Toutes les entreprises qui embaucheront jusqu'au 30 juin 2012 un jeune supplémentaire en alternance le feront sans payer de charges patronales", a précisé le chef de l'Etat. En présence de Nadine Morano, ministre de l'apprentissage, et Frédéric Lefebvre, secrétaire d'Etat au commerce, le président de la République a rendu un hommage appuyé à la cinquantaine d'apprentis rassemblés, avec leurs proches, dans la salle des fêtes de l'Elysée, tous lauréats des Olympiades des métiers.

    "Chacun, dans vos métiers, vous incarnez l'excellence française. Vos métiers sont nobles, vous devez en être fiers", leur a lancé le président. Par cette cérémonie, "nous honorons (...) les valeurs que vous incarnez: le travail, l'effort, le dépassement de soi, la transmission des savoir-faire""Votre réussite adresse un message à toute la jeunesse", a aussi affirmé le président, "ce n'est pas par moins de travail que l'on s'en sort, c'est au contraire par davantage de travail et davantage d'efforts".

    UN DISPOSITIF DÉJÀ PROLONGÉ EN AVRIL

    Nicolas Sarkozy a regretté que "pendant trop longtemps, on [ait] privilégié la seule voie académique, considérée à tort comme la seule voie d'excellence. Ce fut un immense gâchis (...) La technicité des ouvriers que vous êtes, l'originalité de vos créations sont parmi nos meilleurs atouts dans la concurrence internationale".

    Ces apprentis travaillent dans des domaines variés : fruitier-primeur, toilettage animalier, cuisine-gastronomie, tôlerie automobiles, soins esthétiques, création de sites internet ou encore carrelage.

    Le "dispositif zéro charge" avait déjà été prolongé de six mois en avril par Xavier Bertrand, alors ministre du travail.


  • Article à lire sur le site vousnousils


  • postes dans l'Education. Lire l'article sur le site des Echos

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  • Publié le 21/10/2011
    Mis à jour le 21/10/2011 à 11h58

    Article sur Slate.fr

    Le rejet, le dernier cycle pour les étudiants étrangers en France

    La circulaire Guéant du 31 mai restreint très fortement la possibilité pour les étudiants étrangers diplômés en France de rester travailler dans le pays qui les a pourtant formés. Un non-sens politique et économique.


  • Dépouillement du Vote au CTM Education nationale le 20/10/2011

    Les élections professionnelles constituent un moment très important de la démocratie sociale dans l’Education Nationale et dans la fonction publique. Elles doivent en effet permettre de mesurer la représentativité des organisations syndicales et, à travers ce vote, de mettre en évidence les choix des personnels sur l’avenir de l’Education Nationale et sur l’avenir de leurs métiers. Ainsi la recherche d’une expression du plus grand nombre, la mise en place de modalités permettant à chacun de pouvoir s’exprimer par son vote, la rigueur de l’organisation du scrutin sont des éléments essentiels.

    A cet égard le bilan qui peut être fait ce soir est épouvantable. Le taux de participation au CTM constitue un véritable dévissage au regard des taux qui avaient pu être enregistrés depuis des dizaines d’années dans l’Education Nationale. Certains pourraient être tentés d’expliquer cela par la nouveauté que constitue le vote au CTM. Mais les taux de participation aux scrutins des CAP aux effectifs les plus importants, scrutins pourtant traditionnels, enregistrent le même « trou d’air ».

    Quand on constate que seule une partie du corps électoral a reçu une notice de vote alors que cette méthode était la méthode « normale » de communication des outils de vote, on ne peut même plus parler de dysfonctionnement. Quand on constate que des personnels n’ont pu se faire inscrire sur les listes électorales bien qu’ayant saisi l’administration en temps et en heure, que certains collègues pourtant sur les listes électorales n’ont pas pu exprimer leur vote, que les conditions de mise en place des kiosques dans les établissements ont souvent été très éloignées des dispositifs prévus, y compris dans les textes réglementaires, on est obligé de constater le caractère déplorable de l’organisation de ces élections. Le ministère s’est retrouvé ainsi dans l’incapacité de faire respecter les règles que lui-même avait édictées.

    En disant cela, nous voulons aussi dire que les personnels administratifs de la centrale et des rectorats ont fait tout leur possible pour permettre un vote dans les meilleures conditions mais que les exigences que le ministre a fait peser sur eux étaient, en fait, ingérables surtout par le date qui a été imposée. Ce sont bien ceux qui ont décidé d’un vote électronique généralisé, de plus avec un calendrier aggravant encore les difficultés, qui sont les responsables de la situation désastreuse que nous sommes contraints de constater ce soir.

    Les syndicats nationaux de la FSU avaient, dès le début, exprimé leur refus du choix de cette modalité de vote ainsi généralisée, en particulier parce qu’ils craignaient ce que nous observons aujourd’hui. Le ministère a fait le choix inverse, sans concertation. Aujourd’hui il assume l’entière responsabilité de la chute impressionnante des taux de participation et nous n’oublions pas qu’il a, à maintes reprises, affirmé que cette nouvelle modalité de vote n’hypothèquerait pas la participation enregistrée traditionnellement à l’Education Nationale.

    En raison de ce choix la démocratie sociale est fragilisée et c’est sans doute cela que le ministre souhaitait, sans bien sûr pouvoir le dire, en cohérence avec la mise en œuvre de choix budgétaires, de décisions et de réformes qui sont rejetés très majoritairement par les personnels.

    Mais le faible taux de participation dans l’Education Nationale à une autre conséquence. Il affaiblit le poids de la représentation des personnels de l’Education Nationale dans la représentativité mesurée dans l’ensemble de la fonction publique de l’Etat. Dans cette affaire tout le monde sait qui était visé. Il n’est pas très glorieux pour un ministre d’utiliser de telles méthodes pour tenter de contourner l’expression de la volonté des personnels de son ministère.

    La FSU et ses syndicats nationaux restent très attachés à une représentation sociale basée sur l’expression de la volonté de l’ensemble des personnels que les organisations syndicales ont vocation à représenter. C’est au regard de cet attachement que les syndicats de la FSU tireront les conclusions d’un scrutin qui restera le modèle de ce qu’il convient à tout prix d’éviter.





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